Jean Martinon (II) : Premiers Prokofiev électriques

Deuxième épisode d’une série en quatre parties sur les années Philips de Jean Martinon

THE PHILIPS YEARS, 1953-1956 (II) :
PREMIERS PROKOFIEV ELECTRIQUES

Amoureux de musique russe, vibrant naturellement aux sons de l’univers de Prokofiev, qu’il ne cessera de défendre durant toute sa carrière – cette passion connaîtra son point culminant avec l’enregistrement intégral des Symphonies pour VOX (1969-1971, Vol 1, Vol. 2) –, Martinon Continuer la lecture de Jean Martinon (II) : Premiers Prokofiev électriques

Jean Martinon (I) : Mozart grandiose à Paris, en 1956

Premier épisode d’une série en quatre parties sur les années Philips de Jean Martinon

THE PHILIPS YEARS, 1953-1956 (I) :
MOZART GRANDIOSE A PARIS, EN 1956

La carrière de Jean Martinon dans les studios commença après la Seconde Guerre Mondiale, avec l’Orchestre Philharmonique de Londres. Il enregistrait en 1947, dans le légendaire Kingsway Hall, le Concerto No. 20 de Mozart (avec Monique Haas, les 13-14 janvier), Le Tombeau de Couperin de Ravel (le 13 mai) , l’air d’adieu de l’opéra La Pucelle d’orléans de Tchaïkovski (avec Eugenia Zareska, le 14 mai) puis quelques mois plus tard, le 15 décembre 1948, la Suite Pastorale de Chabrier. Continuer la lecture de Jean Martinon (I) : Mozart grandiose à Paris, en 1956

Maria Grinberg, déesse oubliée ?

Portrait subjectif de la pianiste russe (1908-1978)

Il est des artistes du passé parfois oubliés qu’il est impératif de redécouvrir. Tel est le cas de la pianiste Maria Grinberg, l’une des figures majeures du piano russe. Maria Grinberg est une météorite, à l’écart de toute école d’interprétation, comme le fut aussi une autre Maria, la Yudina, aussi essentielle qu’elle. Continuer la lecture de Maria Grinberg, déesse oubliée ?

Paavo Järvi : du côté de Mahler

Le chef d’orchestre estonien Paavo Järvi dirige l’Orchestre de Paris depuis maintenant plus de trois saisons. Bienheureux! En ces deux soirées, il nous offrit peut-être le meilleur de son art, et de l’excellence des musiciens français. L’orchestre est simplement dans une forme olympique, à commencer par les pupitres de bois – un régal absolu. Si le cor d’André Cazalet Continuer la lecture de Paavo Järvi : du côté de Mahler