Camille Pleyel prêta à Chopin un des plus beaux instruments sortis de son atelier. Ce sera l’ultime piano du compositeur, qui regagna les salons du facteur après sa mort le 17 octobre 1849. Deux années où le grand meuble le suivra Cours d’Orléans, rue Saint-Lazare, rue de Chaillot et finalement Place Vendôme où Chopin expira, et sur lequel il composera ses ultimes opus. Continuer la lecture de Les beautés de Pleyel