« Tout un monde lointain, c’est de l’opium », m’exclamais-je en parlant à un ami au sortir du Victoria Hall dans la froidure d’une fin d’hiver genevois. On était le 6 mars 1991, François Guye venait de perdre son chant Continuer la lecture de Opium
« Tout un monde lointain, c’est de l’opium », m’exclamais-je en parlant à un ami au sortir du Victoria Hall dans la froidure d’une fin d’hiver genevois. On était le 6 mars 1991, François Guye venait de perdre son chant Continuer la lecture de Opium