Le Concerto de Beethoven manquait à la discographie officielle de Gioconda De Vito. Le voici, tiré des archives de la Radio allemande, station Berlin RIAS, et dirigé avec panache par le frère cadet d’Eugen Jochum, Georg Ludwig.
Adolf Busch aura été l’exemple de la conscience allemande : aryen parfait, type physique de l’idéal nazi, il tourna les talons devant Hitler lorsque celui–ci lui interdit de se produire en duo avec son gendre, Rudolf Serkin, s’exila d’Allemagne, gardien de son trésor national, la musique. Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, Vol. 22 : La musique du Juste→
Dès l’Adagio de la Première Sonate, dont les arabesques se déploient appuyées aux contre-chants, cette sonorité rêche, qui fait entendre le grain de l’archet, m’arrête. Qui jouait Bach si appuyé dans ma mémoire ? Ce n’était pas au violon – si Adolf BuschContinuer la lecture de Bach blue→