Le spectacle ne serait-il qu’un décor ? Je le crains en voyant ce manoir edwardien ruiné, qu’une guerre apocalyptique semble avoir dévasté, mais dès les premiers mots de Siegmund, Keith Warner impose sa direction d’acteur subtile, qui appuie ses sentiments sur les mots de Wagner autant que sur sa musique Continuer la lecture de Le pardon du père