Jean-Philippe Collard en avait fait, je crois bien, son premier disque (les Barcarolles de Fauré suivront de peu), plus personne n’avait osé commencer par les deux opus emblématiques du piano de Rachmaninov composés de part et d’autre de la Grande Guerre, Alberto Ferro l’ose. Qui s’étonnerait de voir un pianiste italien se brûler à des œuvres Continuer la lecture de Débuts