Ne m’en demandez pas la raison, j’ai toujours adoré la Première Symphonie de Scriabine, vaste poème lyrique où le rêve wagnérien semble se dissoudre dans un paysage de forêts et de lacs.
Ni Vladimir Sofronitzky ni Vladimir Horowitz n’auront gravé toutes les sonates de Scriabine, laissant le champ libre aux pianistes modernes qui s’y sont confrontés à loisir, Roberto Szidon posant, l’exemple de Michael Ponti en tête, le mètre-étalon d’un Scriabine résolument moderniste, tout en angles Continuer la lecture de Les Sonates impossibles→
Je ne sais quelle tendre connivence me rapproche des nostalgies du Concerto de Scriabine depuis que je l’ai découvert sous les doigts de Vladimir AshkenazyContinuer la lecture de Concerto de chanteuse→
C’est la part la plus anecdotique du clavier d’Anatoli Liadov, des pièces pour la bonne société, pour les salons, des morceaux pour briller sans trop de difficultés Continuer la lecture de Salons et cotillons→
J’y avais souvent pensé, Dina Yoffe l’a fait : alterner un à un les 24 Préludes Op. 11 de Scriabine et ceux de l’Opus 28 de Chopin. Évidemment, les deux langues se tuilent à mesure que le disque défile ses plages, les affinités électives proclament à quel point Continuer la lecture de Mise en regard→