Musique pour l’office des morts et rien que cela, le Requiem qu’Alfred Desenclos composa en 1963 ? Peut-être.
Dans une France dont les services liturgiques n’étaient pas encore bouleversés par l’abrasion de Vatican II, Desenclos écrivait le plus modeste et le plus touchant des Requiem qu’aura connu Paris depuis celui de Fauré Continuer la lecture de Ferveur française