Le son d’abord, ce piano plein et éclatant dont la profondeur harmonique diffuse dans les phrasés les plus lumineux cette ombre à peine suggérée. C’est tout Mozart, et c’est tout Annie Fischer, qui fut l’une des interprètes d’élection des concertos, pas une intégraliste mais une fidèle à certains opus, à la manière de Clara Haskil. Continuer la lecture de Annie chez elle→
Dès les premières mesures, Ingrid Fliter donne le ton : emporté, tendu, son Concerto de Schumann cherche et trouve une expression dramatique que je n’y avais plus entendue depuis Annie Fischer. Quelque chose de sombre Continuer la lecture de Appassionata→
Un « nouveau » Concerto de Schumann par Annie Fischer – son quatrième publié si l’on compte la version de studio avec Otto Klemperer – cela ne se refuse pas, d’autant que Carlo Maria Giulini l’accompagne avec le Philharmonia Orchestra ! Continuer la lecture de Beethoven solaire→