Lancée dans une édition complète des Lieder de Schubert où, face à l’ogre Fischer-Dieskau, Deutsche Grammophon lui laissait le peu que l’auteur du Roi des aulnes n’aura pas écrit pour lui-même ou pour ses amis, Gundula Janowitz osait à Salzbourg le récital le moins public possible et même pour les mélomanes du festival rompus aux Liederabend les plus exigeants. Continuer la lecture de La voix de Schubert