Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.
Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal
Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.
Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal
Pas de paysages plus contrastés que ceux offerts par Mendelssohn d’une symphonie à l’autre. Longtemps l’Ecossaise vif argent, somptueusement cinématographique de Doráti à Londres, couplée logiquement à ses Hébrides spectaculaires Continuer la lecture de Elfes et tempêtes
Un mahlérien, Antal Doráti ? Rien dans sa discographie officielle ne l’atteste, sinon, venu de son magister à Stockholm, une 5e Symphonie captée en public et fugitivement publiée en microsillon par la Swedish Society. Mais au concert, Doráti fut, à compter des années 70, un des nouveaux apôtres de Mahler. Continuer la lecture de 2 X 6
On a si peu de Beethoven selon Vlado Perlemuter, et même dans les concertos dont il jouait volontiers les trois derniers. Au disque, pour la Guilde, un Empereur avec Christian Vöchting, le poulain d’Ernest Ansermet disparu si tôt Continuer la lecture de Sérénité
Au centre du Poco Adagio, une rumeur de tempête piquée de hautbois, de clarinettes, de fifres, d’appels lointains de trompettes, surprend l’oreille. Béla Bartók n’avait que vingt-quatre ans lorsqu’il composa sa Première Suite pour orchestre Continuer la lecture de Rapsodia Hungarica