Mario Castenuovo-Tedesco n’aura jamais fini de me surprendre. Ses Concertos pour violon à grand spectacle, son œuvre pour piano si ouverte, jadis magnifiée au disque par Aldo Ciccolini, ses mélodies raffinées, ses opus pour la guitare inspirés par Andrés Ségovia, tous forment un univers aussi cohérent que solaire auquel les deux Quintettes avec piano n’échappent pas. Continuer la lecture de Vers le rêve