Au chapitre Asraël, je croyais l’affaire réglée. Malgré Neumann, Pešek, Petrenko, Mackerras, Bělohlávek, Svetlanov, Václav Talich dominait, imparable, fantasque, cruel. Seul Rafael Kubelík en concert avec ses chers Bavarois avaient pu Continuer la lecture de Symphonie funèbre