L’Allegro con moto qui ouvre le Premier Quintette, œuvre solaire coulée de la plume d’un jeune homme de dix-huit ans, regarde du côté des fantaisies charmantes des quatuors de Haydn, écriture svelte et un rien ironique que les Bartholdy savourent de leurs archets joueurs, œuvre de pur plaisir qui soudain, dans une tempête change de visage. Continuer la lecture de Giocoso à cinq