Bernard Haitink a fréquenté par éclipses, du moins au disque, l’œuvre de Richard Strauss. Les grands poèmes symphoniques n’ont pourtant pas manqué à son répertoire – les gravures d’Also sprach Zarathustra et d’Ein Alpensinfonie avec le Concertgebouw, même si elles ne s’imposent immédiatement à l’esprit du straussien chevronné offrent des beautés certaines. Continuer la lecture de Une relation discrète