Un premier opus chez Decca m’avait stupéfié : la 6e Sonate de Prokofiev, implosante, péremptoire, exposait un pianisme ravageur, des moyens considérables, et une tête sacrément bien faite : Bezhod Abduraimov avait vingt-et-un ans alors. Il nous revient Continuer la lecture de Bezhod