Dès son « Debut Record » pour EMI, Alice Coote m’offrait les plus émouvants Mahler entendus depuis quelques lustres : quatre des Rückert-Lieder, une poignée du Knaben Wunderhorn, son allemand flottait un brin Continuer la lecture de L’art d’émouvoir
Dès son « Debut Record » pour EMI, Alice Coote m’offrait les plus émouvants Mahler entendus depuis quelques lustres : quatre des Rückert-Lieder, une poignée du Knaben Wunderhorn, son allemand flottait un brin Continuer la lecture de L’art d’émouvoir