Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Le grand piano qu’exige la Troisième Sonate de Brahms saurait-il se plier au pianoforte que jouait Mozart ? N’ayez pas peur ! Jonathan Fournel n’aura pas tenté, se perdant et même plutôt se trouvant dans le paradis mozartien Continuer la lecture de Lumière
Commencez par le Quatuor, ce dolce fiévreux si loin des tourments expressionnistes que tant y auront mis, occasion pour le violoncelle de Jean-Guihen Queyras de chanter ce lied qui contrebalance Continuer la lecture de Cordes anciennes
Ecoutez le ton tranquille du Menuet du trop peu couru 11e Concerto, Roman Borisov n’en fait en rien un « Finale », reste dans l’allusif, clavier de perles qui sait que ce petit bijou se termine pianissimo, s’efface sans y toucher. Continuer la lecture de Printemps Mozart
Le piano d’abord, un splendide Bösendorfer qui chante tout seul, et dont Julian Trevelyan (qui sait ce que chanter veut dire, c’est un autre de ses talents) joue avec une évidente simplicité Continuer la lecture de Sans emphase