Le Concerto en sol mineur fuse en sons nourris sous les doigts de Lars Vogt qui, du regard, fait tonner l’Orchestre de chambre de Paris. Quelle fusion, qui resserre l’œuvre, lui donne une dimension épique. C’est que, comme jadis les deux Rudolf, Serkin et Firkušný, Vogt ne veut pas de « beaux doigts », il joue à pleines mains Continuer la lecture de Concertos d’opéras