Un premier album, paru l’an passé, intitulé Equal, m’avait tiré l’oreille. Sebastian Bohren y jouait le Concerto de Beethoven d’un archet souple, limpide, qui prenait le contre pied du « grand concerto ». Tout s’y « faisait » à plusieurs, son orchestre si réactif Continuer la lecture de Opus 2 et opus 1