Sacrant la renaissance du Château Wawel dans sa chère Cracovie relevée d’une guerre qui l’avait arasée, Witold Małcużyński ne pouvait qu’y donner un récital Chopin. Après tout, il était dans cette immédiate après-guerre l’un de ses ambassadeurs les plus courus, et les plus enregistrés, quitte à faire trop oublié le pianiste majeur qu’il fut hors Chopin, de Bach à Rachmaninov en passant par Liszt et Brahms. Continuer la lecture de Chopin le sombre