Seul, avec son Christoph Kern d’après Walter si profond de timbre, Alexander Melnikov ouvre la Sonate en sol majeur. Romantique, et déjà si lyrique avant même que le violon ne vienne reprendre sa phrase.
L’un des atouts majeurs de cette nouvelle intégrale Continuer la lecture de Abendempfindung →
Le fin soleil qui dore les concerts si vifs que font danser Isabelle Faust et Alexander Melnikov au long des quatre sonates de ce deuxième volume me rappelle la bonhomie heureuse de Willy Boskowsky et de Lili Kraus, cette allégresse qui emporte le Rondo de la Sonate en fa majeur, le ton capricieux Continuer la lecture de Giocoso →
Artalinna, la musique, l'art, les bonnes choses