Sur le papier, on n’y croyait pas trop. Après la vraie révélation que fut l’album Steffani, Cecilia Bartoli nous conviait à découvrir l’opéra à la Cour de Saint-Pétersbourg durant les règnes d’Anna Ioannovna, d’Elizaveta Petrovna et de la Grande Catherine ! Terra incognita absolue dont pour nous avaient seulement émergé, et en plus voici quelques lustres déjà, l’Oratorio russe de Sarti et l’Orphée de Fomine. Continuer la lecture de Les Italiens de la Neva