Sa visite à Beethoven, qu’il a narrée avec un certain brio, est restée célèbre, comme le satisfecit de Wagner sur sa Dixième Symphonie, pourtant Cipriani Potter, figure majeure de la vie musicale londonienne de la première moitié du XIXe siècle, est un quasi oublié des dictionnaires musicaux, et le disque ne l’a que peu dévoilé, trois symphonies qui donnaient envie d’en savoir plus (vieux LP Unicorn-Kanchana), voilà tout ce que l’on pouvait entendre au disque. Continuer la lecture de Londres romantique