Sur un sonore Humeau d’après une belle caisse de Johann Heinrich Gräbner, Bertrand Cuiller arpente le versant latin de l’univers Bach.
D’emblée, un Concerto Italien très dit donne le ton Continuer la lecture de La chambre aux miracles
Sur un sonore Humeau d’après une belle caisse de Johann Heinrich Gräbner, Bertrand Cuiller arpente le versant latin de l’univers Bach.
D’emblée, un Concerto Italien très dit donne le ton Continuer la lecture de La chambre aux miracles
Jörg Demus n’avait pas encore atteint ses vingt-cinq ans, mais pour son premier disque Bach, il osait les Variations Goldberg. Déception, piano et prise de son éteints, jeu morne Continuer la lecture de Bach de Vienne
« Bach Nostalgia » ? Pourquoi ne pas avouer le véritable objet de ce disque hautain et fulgurant : ce que l’auteur de Doktor Faust transmua de Bach en son piano-démiurge. Dans un tel programme où Francesco Piemontesi invente un orgue dans son Steinway pour incarner le Prélude BWV 552, c’est le génie de Busoni qui éclate d’abord Continuer la lecture de Busoni
Scarlatti, Couperin, Rameau auront suffi à assurer la gloire posthume de Scott Ross dont on peine à croire qu’il a disparu voici déjà trente ans, tant ses disques nous restent vivaces Continuer la lecture de Bach de Scott
Voici dix ans, Deutsche Grammophon regroupait dans une boîte jaune dont je signais le texte tous les enregistrements de Monique Haas parus sous étiquette de la même couleur. La boîte fit grand bruit, se vendit vite et ne fut pas réimprimée (peut-être dans le futur proche ?, DGG s’étant décidée à réimprimer il y a peu quelques boîtes Original Masters), dommage Continuer la lecture de Vif Argent