Dans le clair Arpeggio qui ouvre ce disque regardant des deux côtés des Alpes, le souvenir de Scott Ross jaillit (volontairement ?) sous les doigts de Justin Taylor. Les sortilèges du merveilleux instrument du Château d’Assas semblent garder le souvenir du magicien qui les avaient ranimés. Continuer la lecture de Nostalgie