Comment exister en face de Sibelius et de Nielsen même en étant suédois ?
Lars-Erik Larsson, qui étudia son orchestre avec Alban Berg à Vienne, laissa dès sa brillante Première Symphonie les oripeaux Continuer la lecture de Symphonie suédoise
Comment exister en face de Sibelius et de Nielsen même en étant suédois ?
Lars-Erik Larsson, qui étudia son orchestre avec Alban Berg à Vienne, laissa dès sa brillante Première Symphonie les oripeaux Continuer la lecture de Symphonie suédoise
Oui, Gottfried August Homilius fit probablement son apprentissage musical dans le cercle des élèves de Bach, mais c’est à Dresde, où il naquit en 1714, qu’il fit toute sa carrière de musicien, organiste à la Nikolaikirche, puis à la Frauenkirche, avant de prendre le prestigieux poste de Cantor de la Kreuzkirche. Continuer la lecture de Pour le temps de Noël
Friedrich Gernsheim a concentré l’essence de son art dans ses partitions chambristes. L’orchestre le trouve peu inspiré, sa plume comme engoncée, ses Symphonies le prouvent mais ses Concertos ? Les deux opus Continuer la lecture de Concerto lyrique
Elle tombe à pic cette Messe en si toute en lumière au moment où les abîmes nous gagnent. Lars Ulrik Mortensen la conduit en tempos tranquilles, fait chanter les polyphonies qu’éclairent encore les dix solistes aux chant ailé, au latin doré, c’est assez merveilleux de baigner ainsi dans tant de sérénité et de simplicité. Continuer la lecture de La messe heureuse
Le vaste Trio qu’Albéric Magnard acheva en 1905 est une symphonie déguisée. Geneviève Laurenceau, Maximilian Hornung et Oliver Triendl l’ont bien compris, qui le jouent avec une puissance toute orchestrale, et lui donnent un élan, pour la tempête du premier mouvement ou les danses populaires du Finale, que l’œuvre attendait. Continuer la lecture de Chambre d’orchestre