À quoi tient le destin de certains musiciens dans la jungle de l’édition phonographique. Une belle moisson de 78 tours, majoritairement sous étiquette Telefunken, avait assuré au style impeccable et à la direction de grand caractère de ce Berlinois Continuer la lecture de Schmidt-Isserstedt, tout d’un grand
Archives par mot-clé : Decca Eloquence
La Belle éveillée
Un ballet, un vrai ! Dans les couleurs vives des instrumentistes français, Anatole Fistoulari, qui n’avait pas sa baguette dans sa poche, délivre la version la plus narrative de La Belle au bois dormant que le disque ne connaîtra jamais. Un vrai théâtre dansé Continuer la lecture de La Belle éveillée
Pour l’amour de Drago
Au cours des années cinquante, Decca posa ses micros à l’opéra de Belgrade. Objet, y saisir d’abord le Boris et le Dosifei de Miroslav Čangalović et réaliser une série d’enregistrements d’opéras russes par une troupe les ayant naturellement à son répertoire.
Cette série souvent décriée restait à dormir dans les archives Continuer la lecture de Pour l’amour de Drago
Le pianiste retrouvé
Dans les années vingt, Nikolai Orlov bluffa les mélomanes londoniens et new-yorkais, virtuose étourdissant formé à la haute école de Safonov et d’Igumnov, chez lui évidemment chez Rachmaninov mais tout autant chez Brahms Continuer la lecture de Le pianiste retrouvé
Cherubino
Ah ce Chérubin ! La belle Lisa nous le chante sous les ors du Victoria Hall « auf Deutsch » en tempo tranquille, avec un orchestre qui fait « plouc plouc ». La passion ? Jamais. Mais ce sourire dans le timbre ne s’oubliera plus. Et cette Pamina, même lieu, même heure : surréelle. Continuer la lecture de Cherubino