Après tout, si je devais garder une seule version de Burleske, œuvre que j’adore, le tandem Arrau–Defauw me suffirait. C’est que Claudio Arrau est le seul à faire rire son clavier, y ajoutant une touche méphistophélique. Argerich sait y être prodigieuse Continuer la lecture de Comédie et tragédie