Qui se souvient des Bartók d’Andor Foldes (ndlr, originellement Andor Földes) ? Deutsche Grammophon avait réédité en série Dokumente un seul CD sélectionnant parmi les 5 microsillons du coffret originel quelques œuvres phares du clavier de Bartók : En plein air, la Sonate, l’Allegro barbaro, la Suite Op. 14, Continuer la lecture de Le testament d’Andor Foldes
Archives par mot-clé : Deutsche Grammophon
Ultima verba
Bruckner fut à la marge du répertoire de Claudio Abbado. Pourtant, jeune homme et alors artiste Decca, il avait consacré en 1969 un de ses premiers disques avec les Wiener Philharmoniker à la méconnue Première Symphonie, lorsque son camarade de chant dans le Wiener Singverein, Zubin Mehta, signait un vrai coup d’éclat avec une Neuvième Symphonie demeurée célèbre. Continuer la lecture de Ultima verba
Nouvelle Première
Je me souviens d’avoir posé avec une certaine crainte sur la platine le microsillon Barclay où Jean Martinon dirigeait la Première Symphonie (1951) d’Henri Dutilleux, jusque là terra incognita pour moi, partition regardée Continuer la lecture de Nouvelle Première
La Sonate de Respighi (Chung, Zimerman)
Parfois, certaines parutions nous conduisent à découvrir de superbes oeuvres, méconnues et rares. Telle est la Sonate pour violon et piano d’Ottorino Respighi, composée en 1917. Je découvre aujourd’hui cette partition maîtresse du corpus de chambre du compositeur italien Continuer la lecture de La Sonate de Respighi (Chung, Zimerman)
Yuja Wang, un Prokofiev virtuose, brillant
« Der Himmel lacht, die Erde jubilieret »
(J. S. Bach, chœur d’ouverture de la Cantate BWV 31)
Voilà ce que m’évoque le jeu et l’univers poétique de la prodigieuse Yuja Wang. Depuis la découverte de cette jeune sino-américaine au printemps dernier, je traque ses vidéos sur Youtube. La venue sur la scène musicale de cette artiste ardente et enjouée ravit.
Une virtuosité phénoménale, incomparable, soudée par une main gauche très puissante, alliée à de belles qualités poétiques et des intuitions architecturales. Continuer la lecture de Yuja Wang, un Prokofiev virtuose, brillant