André Tchaikowsky avouait préférer par-dessus tout le piano de Mozart. Il le jouait avec une divine simplicité qu’illustrèrent deux disques de sonates et de pièces diverses enregistrés pour la RCA puis à Paris pour La Voix de son maître. Seul devant les micros, il dévoilait un Mozart plutôt sombre, d’une confondante maîtrise stylistique, très personnel de phrasés et d’accents. Continuer la lecture de Mozart et André