Archives par mot-clé : Eduard van Beinum

Le poète discret

« The Bel Canto Violin » proclament les disques de cette série – en fait une intégrale de tout ce que ce violoniste anglais aura enregistré pour Decca et L’Oiseau-Lyre. Comme c’est vrai ! Campoli – abandonnez vous aussi le prénom, les Londoniens ne l’appelaient affectueusement que par son patronyme – né à Rome en 1906 dans une famille de musiciens (sa mère Elvira donnait la réplique à Caruso, rien moins) Continuer la lecture de Le poète discret

Revenus des ombres

Mazette !, la Marche en ré et les Trois Pièces pour orchestre dirigées par Hans Weisbach ! L’American Bruckner Society est parvenue à retrouver le microsillon de l’improbable label Family Records qui conserve Continuer la lecture de Revenus des ombres

Symphonie des morts

Avouons-le d’emblée, Sir Simon Rattle ne retrouve pas l’esprit, la fantaisie, la poésie que Britten mit à son enregistrement de la Spring Symphony, mais Gardiner lui-même n’y parvint pas, et Britten lui-même ne retrouva pas la lyrique sombre qui fait tout le prix d’une captation en concert où Eduard van Beinum dirige entre autres Kathleen Ferrier. Continuer la lecture de Symphonie des morts

Le mage d’Amsterdam

Premier instrument, la contrebasse. Ce n’est pas si commun. Ajoutez dans l’arbre généalogique pour seule figure tutélaire côté musique un grand père chef d’harmonie militaire. Heureusement, Eduard van Beinum avait un frère, Co, violoniste de talent Continuer la lecture de Le mage d’Amsterdam

L’héritier

Complete Philips Recordings ? Allez, prince en gourmandises, Cyrus Meher-Homji s’est quand même autorisé à ajouter quelques LPs Deutsche GrammophonPaul van Kempen retrouvait en 1952 les Berliner Philharmoniker. Les neuf Danses hongroises de Brahms vous ont un de ces caractères ! Continuer la lecture de L’héritier