Jolie idée que celle du nouveau disque d’Andreas Brantelid que je suis depuis son album Chopin chez EMI : mettre en regard les œuvres pour violoncelle commises par deux musiciens amis, Edvard Grieg et Percy Grainger.
Aubaine : Supraphon regroupe en une mince boîte de 6 CD les premiers enregistrements que lui consentit Vaclav Neumann entre 1953 et 1956. Alors dans sa trentaine, déjà chef invité à la Philharmonie Tchèque où régnait Karel Ancerl dont il sera le successeur en 1968 en des temps particulièrement troublés, Neumann développait un style Continuer la lecture de The Young Neumann→