Longtemps les trois Sonates pour violon et piano d’Edvard Grieg restèrent mal aimées des violonistes. Yehudi Menuhin, conscient de leur valeur, les enregistra avec Robert Levin, album qui resta méconnu.
À chaque fois que je m’immerge dans les Pièces lyriques de Grieg, elles m’émerveillent. La variété des registres poétiques, l’écriture pianistique harmoniquement si novatrice à laquelle Debussy s’abreuva pour ses Préludes, l’hésitation entre musique illustrative et musique évocatrice, tout demande un très grand pianiste. Continuer la lecture de Les autres Préludes→
Jolie idée que celle du nouveau disque d’Andreas Brantelid que je suis depuis son album Chopin chez EMI : mettre en regard les œuvres pour violoncelle commises par deux musiciens amis, Edvard Grieg et Percy Grainger.
Aubaine : Supraphon regroupe en une mince boîte de 6 CD les premiers enregistrements que lui consentit Vaclav Neumann entre 1953 et 1956. Alors dans sa trentaine, déjà chef invité à la Philharmonie Tchèque où régnait Karel Ancerl dont il sera le successeur en 1968 en des temps particulièrement troublés, Neumann développait un style Continuer la lecture de The Young Neumann→