De lieder en opéra, Samuel Hasselhorn questionne la part sombre, celle du romantisme noir du Revelge du Knaben Wunderhorn, celle si saisissante de la grande ballade Herr Oluf où Hans Pfitzner fait entendre deux voix, le baryton flûtant les tentations de la fille du Roi des Aulnes, celle du réalisme psychologique avec la scène entre Wozzeck et Marie (remarquable Julia Grüter). Continuer la lecture de Vers le sombre