Le couplage est logique, mieux, imparable, le deuxième Quintette avec piano tragique, mystérieux, jusque dans la valse de son Intermezzo, œuvre d’un jeune homme que Brahms accueillit à bras ouverts mais avec étonnement, et le Sextuor, cette sérénade étrange qui roule des tempêtes et danse le tango Continuer la lecture de Sang Magyar