Musique pour l’office des morts et rien que cela, le Requiem qu’Alfred Desenclos composa en 1963 ? Peut-être.
Dans une France dont les services liturgiques n’étaient pas encore bouleversés par l’abrasion de Vatican II, Desenclos écrivait le plus modeste et le plus touchant des Requiem qu’aura connu Paris depuis celui de Fauré Continuer la lecture de Ferveur française →
Le Concertino que Dinu Lipatti destinait à son propre usage et dont il aura laissé un enregistrement n’avoue qu’un Dieu par ses lignes claires, sa touche pastorale à peine nimbée de modes roumains Continuer la lecture de Tropisme Mozart →
Un premier disque est toujours incertain, voir dangereux. La réclusion dans le studio, loin du public, le morcellement du processus d’enregistrement, la confrontation obsessionnelle avec le texte, tout cela freine l’inspiration, outre qu’un artiste dans sa prime jeunesse doive imposer une conception, sinon une vision. Continuer la lecture de Lignes parallèles →
Artalinna, la musique, l'art, les bonnes choses