Neeme Järvi dévore les répertoires, et même la musique française, où il aura abordé d’abord Roussel lors de son temps de Detroit. Sa curiosité insatiable l’a amené à feuilleter le catalogue de Jacques Ibert, un premier disque assez fabuleux avec L’Orchestre de la Suisse Romande cherchait dans le rare : la Suite Symphonique « Paris », la Bacchanale, l’Hommage à Mozart, Féérique, l’Ouverture de fête, le Divertissement accompagnaient les célèbres Escales, disque essentiel. Continuer la lecture de Les Amours de Jupiter