Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Les trois plans sonores de Voiles sont l’un des secrets les mieux gardés du piano de Debussy. Jean-Paul Gasparian y infuse comme un gamelan, la diversité de la touche Continuer la lecture de Univers Debussy
Pas un marteau dans ce piano. L’adage est célèbre concernant Walter Gieseking jouant Claude Debussy, et se vérifie d’abord dans ses précieux 78 tours Columbia, collationnés ici. Ce toucher d’ondiste va au cœur de la Suite bergamasque, irréelle à force de mystère sonore (cette fluidité qui n’exclut jamais la diction) Continuer la lecture de Le Magicien
La belle idée d’enfin rassembler sur un disque les trois triptyques impressionnistes que Bohuslav Martinů composa entre 1955 et 1958 : il épurait son orchestre, l’éclairait de couleurs latines, lui donnait une fluidité onirique que Les Fresques de Piero della Francesca Continuer la lecture de Impressions d’orchestre
Javier Perianes avait déjà effleuré les sortilèges debussystes dans un album subtilement composé où le compositeur de La Boîte à joujoux était mis en regard avec Frédéric Chopin.
Son piano d’onde(s), où jamais ne frappe un marteau Continuer la lecture de Du silence