L’automne dernier, le premier album concertant de Louis Schwizgebel, les Premier et Deuxième de Beethoven, m’avait conquis : fraîcheur du jeu, élan du clavier, les avantages de la jeunesse y rayonnaient, découvrant surtout un sacré pianiste dont le Gaspard de la nuit lors d’une Tribune des critiques de disques de France Musique m’avait alerté. Continuer la lecture de Les deux visages de Saint-Saëns