Il y a des disques dont j’espère trop, péché mortel que la convoitise ! Voici que s’annonçait tout un disque Schumann selon Severin von Eckardstein, de plus au programme parfaitement cohérent : les trois cycles de Fantaisies.
Mais voilà, l’ouvrir justement par le triptyque de l’Opus 111 Continuer la lecture de En demi-teinte