Peu à peu, le Concerto pour violoncelle (Op. 58) s’impose face à la Symphonie concertante (Op. 125) que Prokofiev en tira des années plus tard.
János Starker lui marqua toujours une préférence alors même que Mstislav Rostropovitch championnait la Symphonie Continuer la lecture de L’original →
Un nouvel élu pour l’opus majeur où Ravel inventa son piano ? Oui. Les Noctuelles hallucinées que Michael Brown fait crier dans son clavier en stupéfieront plus d’un. La pièce la plus insaisissable, et d’une vraie difficulté autant pour les doigts que pour l’intellect, de tout le piano de Ravel Continuer la lecture de Double Miroir →
L’année Beethoven vient de s’achever, Adam Golka commence son intégrale des sonates. Contretemps ? Conscience plutôt que l’œuvre beethovénienne n’a cure des contingences. Dès le Grave de la « Pathétique » où les accords creusent le son Continuer la lecture de Opus 1 →
Elle le jouait toujours pour elle-même d’abord, y revenant sans cesse, l’essayant plusieurs fois au disque, mais ne s’y trouvant libre absolument qu’en concert. À Helsinki, ce soir d’avril 1993 Continuer la lecture de Prières →
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