Gluck puis Traetta avaient rhabillé la magicienne au goût du jour, le premier héritant encore du livret de Quinault, le second s’en démarquant pour son Armida écrite pour Vienne en italien (1761) Continuer la lecture de Armide re-réformée
Gluck puis Traetta avaient rhabillé la magicienne au goût du jour, le premier héritant encore du livret de Quinault, le second s’en démarquant pour son Armida écrite pour Vienne en italien (1761) Continuer la lecture de Armide re-réformée