C’est peu d’écrire qu’András Schiff, mozartien de la première heure, s’est trouvé en Schubert. Une intégrale des Sonates pour Decca, simple et éloquente, le mettait sur un quasi pied d’égalité avec celle, plus inventée, de Wilhelm Kempff. Et le voilà Continuer la lecture de Andras Schiff chez lui