Des pièces de bravoure ? Pas seulement. Ecoutez la Dixième Rhapsodie, avec son cymbalum qui se dissout dans la puszta, le même qui ouvre la Onzième. Derrière, et presque malgré la virtuosité dont Liszt aura habillé ses quinze fantaisies magyares Continuer la lecture de Rhapsodies à deux visages
Archives par mot-clé : Franz Liszt
Le Diable et l’Ange
Les timbres. Voyez-vous, les timbres font un pianiste. Oui, il lui faut des doigts, du panache, de la musicalité, mais sans les couleurs le piano reste en noir et blanc. Les timbres ne sont pas donnés à tout le monde, mais Nathanaël Gouin en est le jeune maître. Continuer la lecture de Le Diable et l’Ange
Bartók et pas seulement
Bartók évidemment, la grande anthologie des œuvres pour piano où pas un opus d’importance ne manque, reste ce phare, qui ancra dans les discothèques des mélomanes des années cinquante le nom d’Andor Földes, au point d’éclipser le reste de son héritage discographique. Continuer la lecture de Bartók et pas seulement
Grand Son
La Fantaisie « Wanderer » ? Edwin Fischer d’abord, je l’ai apprise avec lui, puis Sviatoslav Richter qui en quelque sorte pouvait l’épuiser, de sons, de motifs, de texte simplement, et puis surtout Wilhelm Kempff Continuer la lecture de Grand Son
Les nouveaux mondes
Dénominateur commun, la Hongrie, mais quasi comme une utopie de sons. Ce qui chez Liszt, Brahms et Bartók se nomme rhapsodie évoque d’emblée la puszta, l’immensité où se lient la terre et le ciel que parcourent les musiques Continuer la lecture de Les nouveaux mondes