Pierre Hantaï, Lucas Debargue, quelques autres disques, cet automne est assez Scarlatti, qui s’en plaindrait ? Sortant de l’album radical de Pierre Hantaï, je m’étais immergé dans les quinze sonates que Frédéric D’Oria-Nicolas faisait paraître sur son label Fondamenta. Piano versus clavecin ? Continuer la lecture de Solaire