Bach admirait les talents de claviériste de Haendel, à l’orgue comme au clavecin, mais le théâtre allait ravir le jeune homme, le détournant vers un monde que Bach n’ignorera pas au point qu’on peut croire : le journal de ses cantates est aussi un théâtre.
Mais revenons à Haendel. Les clavecinistes imposant les merveilleux décors sonores que les instruments « historiques » pouvaient enfin faire paraître grâce à la magie des micros Continuer la lecture de Le maître des claviers→
Le temps de Vinci serait-il venu ? Une tasse de chocolat empoisonné aura eu raison à quarante ans de ce séducteur impénitent, autre Casanova, ce héros de l’Opéra napolitain qui commença à écrire des œuvres dans le dialecte local et aura attendu ses trente ans pour conquérir l’opera seria à RomeContinuer la lecture de Apothéose des castrats→
Sera-ce la nouvelle coqueluche des amoureux des sopranistes : Samuel Mariño ne fait qu’une bouchée des vocalises de l’Alessandro que Haendel écrivit pour Gizziello, mais il sait aussi trouver les extases (avec ornements rossignolesques) Continuer la lecture de Sopraniste→
Ses récentes Suites anglaises m’avaient surpris en bien, je les croyais le premier album en soliste de Paolo Zanzu, mais en fouillant, voici que je retrouve son opus 1 Continuer la lecture de Haendel à son clavecin→
La voix longue, le timbre masculin, les mots emplis d’émotions, les consonnes en fureur, les voyelles qui rêvent, Christophe Dumaux est devenu le contre-ténor Haendel de notre temps Continuer la lecture de Héro Haendel→