Bohuslav Martinů était atteint d’un tropisme grec durant cette année 1958. Parvenu au milieu de la rédaction de sa Passion grecque, il s’interrompit pour mettre en musique la jolie pièce de Georges Neveux qui lui avait déjà offert le merveilleux livret de Juliette ou la Clé des songes. Continuer la lecture de Ariane retrouvée