N’attendez pas de Nelson Freire qu’il prenne la parole devant Bach. C’est tout le contraire d’un Sokolov ou d’un Gould, il entre chez le Cantor de tout son piano timbré et modelé, mais sans dire « je ».
Ses Variations Goldberg nous avaient tiré l’oreille. Beaucoup d’idées, une technique parfois incertaine, une volonté claire de répondre à Glenn Gould en copiant son toucher et même ses maniérismes. Intéressant, inabouti, frustrant. Tout comme Continuer la lecture de Le cas Pienaar→