Le ton de la Maguelone de Brahms, avec ses références schumaniennes, son imaginaire entre populaire et poésie savante, ne se saisit pas d’évidence. Il y faut une culture vocale et littéraire que seul Dietrich Fischer-Dieskau, surtout avec Sviatoslav Richter (Orfeo), sut y mettre. La lecture univoque de Continuer la lecture de Abendlieder I