Georges Antoine n’est pas un inconnu. Cueilli par la maladie au début de la Grande Guerre, disparu le 13 novembre 1918 à vingt-cinq ans, admiré par D’Indy qui louait son Quatuor avec piano, il aura écrit à égalité avec celle de Guillaume Lekeu la plus belle Sonate pour violon issue du modèle franckiste, rien que cela. Continuer la lecture de Sonate(s) oubliée(s)